Concerts à venir

  • 25 JANVIER 2025

    « LES MEMOIRES D’UN AMNESIQUE »
    A l’occasion du centenaire de la mort d’Erik Satie (1866-1925), création.

    Visite du musée, coupe de champagne au Grand Salon & concert

    Jacqueline BOURGES-MAUNOURY, piano
    Alain CARRE, comédien et adaptation

    « Tout le monde vous dira que je ne suis pas un musicien. C’est juste. »

    Erik Satie a-t-il écrit autant de mots que de notes ? C’est possible et c’est ce que nous allons démontrer au travers d’un choix de textes tirés de ses écrits : Mémoires d’un Amnésique, Cahiers d’un mammifère, Causeries, Pronostics pour l’année 1889, Les raisonnements d’un têtu…

    Du loufoque, de l’absurde, du non-sens, mais pas que : « Un vrai musicien doit être soumis à son Art ;…il doit se placer au-dessus des misères hu-maines ;…il doit puiser son courage en lui-même,…rien qu’en lui-même. » Une plongée franche et hardie, à cheval sur deux siècles, à l’aube du Dadaïsme…

    Des œuvres musicales et littéraires uniques en leur genre : « Sports et divertissements, Sonatine bureaucratique, Les embryons desséchés… N’en jetez plus !

    Une seule règle : « Dieubussy seul adoreras ! » Sans oublier le plus important : Avant-hier, les nouvelles du Sud étaient plus chaudes ; celles du Nord, très froides. »

    Musée Jacquemart-André

  • 28 JUILLET 2024

    JE NE SUIS PAS SAINTE, QUOIQU'ON DISE! - LECTURE MUSICALE

    Marie-Christine Barrault & Jacqueline Bourgés-Maunoury

    Dimanche 28 juillet 2024 à 19h à Beauséjour dans le cadre du Festival Ondes Classiques de La Rochelle


    L’indépendance avait un prix : George Sand souffrit, travailla comme une acharnée, mais elle aima: «Vivre, que c’est doux! Que c’est bon malgré les chagrins, les maris, l’ennui, les dettes, les cancans…Vivre c’est enivrant ! Aimer et être aimé, c’est le bonheur…

  • 22 JUIN 2024

    RÉCITAL DE PIANO

    Les 24 Préludes de Chopin par Jacqueline Bourgès-Maunoury.

    Vendredi 22 juin à 19h / Au Prieuré Saint-Nicolas.


    Les Vingt-quatre Préludes de Chopin, opus 28 interprétés au piano par Jacqueline Bourgès-Maunoury, ponctués par des lectures de Marie-Christine Barrault. Textes de George Sand, Gide, Liszt...

    Les Préludes op. 28 de Chopin ont été conçus pour former un tout. Fondé sur l’alternance de moments de tension et de détente, ce cycle incorpore aussi les caractéristiques d’autres genres comme la mazurka ou la romance. De courte durée, ces pièces recèlent toute la magie des instantanés musicaux du Romantisme.

  • 21 JUIN 2024

    JOURNAL INTIME DE GEORGE SAND

    Lecture Marie-Christine Barrault, Interludes de piano Jacqueline Bourgès-Maunoury.

    Vendredi 21 juin à 19h / Au Prieuré Saint-Nicolas.


    « La saveur et la pertinence des propos de George Sand lus, l’on devrait dire plutôt vécus, par Marie-Christine Barrault, tant elle les habite de toute son âme et leur donne chair, étaient un enchantement. Récit entrecoupé de musiques de Chopin, Schubert, Liszt, Beethoven et Pauline Viardot, interprétées avec grâce et subtilité par Jacqueline Bourgès-Maunoury. Un duo d’exception ! »

Concerts passés

  • RECITAL

    Stéphanie d’Oustrac et Jacqueline Bourgès-Maunoury


    Mardi 16 avril à 18h / A l'hôtel OLINTO

    En partenariat avec l’Association des Amis de la Musique de Marrakech, Fabrizio Ruspoli accueille dans son nouvel hôtel OLINTO Stéphanie d’Oustrac et Jacqueline Bourgès-Maunoury pour un incroyable concert suivi d'un cocktail-dînatoire.

  • Samedi 11 février 2023 à 19h00

    Jacqueline BOURGES-MAUNOURY, piano
    Alain CARRE, comédien


    « La Fée Verte »

    Une fée qui a « le plein pouvoir » et qu’on « supplie en tremblant » il s’agit bien entendu de l’absinthe, appelée la « fée verte » à la fin du 19ème siècle. Cet alcool avait un grand succès, la consommation passant de 8.000 hectolitres en 1874 à plus de 200.000 en 1905. Mais aussi une bien mauvaise réputation, puisqu’on l’accusait de rendre fou. La « fée verte » avait 70° d’alcool et ses essences étaient considérées comme provoquant des crises psychotiques.

    Paul Verlaine décrit très bien comment la drogue arrive de manière sympathique pour après emprisonner : « Sa voix, étant de la musique fine, accompagnait délicieusement l’esprit sans fiel de son babil charmant où la gaîté d’un cœur bon se devine. »

    Et la chanteuse Barbara a une chanson éponyme où elle chante : « Ils buvaient de l’absinthe,
    Comme on boirait de l’eau,
    L’un s’appelait Verlaine,
    L’autre, c’était Rimbaud. »

    Œuvres de Chopin, Schumann, Liszt, Fauré, Debussy, Satie…

  • Samedi 16 octobre 2021 à 20H / dimanche 17 octobre à 18H / samedi 11 décembre à 20H
    « UN PIANO POUR DEUX UNIVERS » épopée tendrement facétieuse avec Jacqueline BOURGES-MAUNOURY au piano et Jean-Pierre RÉGINAL
    Studio l’accord parfait Paris 18e

    Imaginez seulement… Chopin, Liszt, Piazzola et les autres… s’installant, en 2021, à une terrasse de café de la place Saint-Sulpice « où les gens passent, où les chiens … ».

  • Interprétation des airs d’opéra et œuvres pour piano des compositeurs Purcell, Marcello, Hahn, Gluck, Schumann, Duparc, Franck, Viardot, Offenbach et Bizet.

  • « Quelques mots rimés, quelques vers libres, quelques notes… chantent le corps et le coeur de la femme. Un seul poème – ou plusieurs – comme un long fleuve fertile…

    Les poètes – connus ou moins connus – permettent de graver l’éphé-mère printemps, d’arracher à l’oubli le souvenir d’une nuit d’amour, l’instant d’une caresse ou le parfum secret de tant de « passantes qu’on n’a pas su retenir »…

    Un voyage littéraire et musical en compagnie d’auteurs et compositeurs qui ont célébré la femme »

    Musiques de Rameau, Schubert, Chopin, Schumann…

  • “Elle joue sans artifice, sans influence, avec la seule recherche de la sincérité qui est une des obligations essentielles de l’artiste. Une grande pianiste dont notre pays peut s’honore.” Jean-Bernard Pommier

  • Journal intime de Georges Sand

    « Je ne suis pas sainte, quoi qu’on dise »

    Il y a près de deux cents ans, les romans de George Sand (1804-1876) passionnaient le public, mais sa vie de femme ouvertement indépendante choquait une société pétrie de moral et de conformisme. Aujourd’hui, on ne lit plus guère ses romans mais on reste subjugué par la modernité de ses écrits intimes. Rêveuse et imaginative, généreuse et indomptable, touchante de franchise et d’honnêteté, cette amoureuse passionnée traverse les joies et les épreuves avec le même goût du bonheur qu’elle définissait comme « l’acceptation de la vie, quelle qu’elle soit. »

    Publié pour la première fois en 1924 par sa petite-fille, Aurore Sand, ce qui reste de son journal intime (des fragments retrouvés par un collectionneur et qui auraient été conservés par Ursule, l’amie d’enfance de G. Sand) débute par un moment particulièrement douloureux de sa liaison avec Alfred de Musset.

    L’indépendance avait un prix : George Sand souffrit, travailla comme une acharnée, mais elle aima : « Vivre, que c’est doux ! Que c’est bon malgré les chagrins, les maris, l’ennui, les dettes, les cancans… Vivre c’est enivrant ! Aimer et être aimé, c’est le bonheur ! C’est le ciel ! (1831) »

    Un voyage littéraire et musical, en compagnie de Chopin, Schubert, Listz, Beethoven et Pauline Viardot.

  • Le concert d’ouverture offre une affiche exceptionnelle :Lambert Wilson, parrain de Dinard Opening 2022, chantera en compagnie de la grande soprano anglaise Felicity Lott. Ils seront tous deux accompagnés par leur complice de longue date, bien connue des Dinardais, la pianiste Jacqueline Bourgès-Maunoury. Le trio a élaboré ce programme inédit tout spécialement pour Dinard Opening, dans la bonne humeur et l’ouverture d’esprit qui les caractérisent…
    et que le festival revendique.

  • « Qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse »

    « Dieu n’avait fait que l’eau, l’homme fit le vin. » Victor Hugo
    Un vers d’Alfred de Musset et tout est suggéré aux confins du raffinement et de la grâce ! des plus douces ivresses et de l’éloge de la griserie…
    De François Rabelais à Jacques Offenbach, les chantres de l’extase vendangent à toute heure du jour et récoltent, la nuit, les fruits de leurs dégustations secrètes.

    Et si « les sons et les parfums tournent dans l’air du soir », il n’y a jamais « si loin de la coupe aux lèvres » !

    Musique de Reynaldo Hahn, Camille Saint-Saëns, Henri Duparc, Gabriel Fauré…

  • En choisissant de republier les lettres adressées par
    le compositeur au Figaro (et complétées par d’autres textes), nous entendons mettre l’accent sur ses capacités de « communiquant » et d’homme de médias, ce qui souligne sa modernité et fait de lui notre contemporain. »

    Grâce au travail de Jean-Claude Yon, nous mêlerons les airs célèbres du compositeur à ses écrits peu ou moins connus. Vous serez ainsi
    « transportés au cœur de l’aura médiatique de l’auteur de La Belle Hélène et nous vous offrirons un accès privilégié à la pensée et à la personnalité d’un musicien aussi à l’aise avec les mots qu’avec les notes. »

  • De grands noms à l’affiche de ce concert d’exception : Philippe Muller, Ophélie Gaillard, Catherine Warnier, Selma Gokcen, Clémence Tilquin, Xenia Jankovic, Jacqueline Bourgès-Maunoury, Yannick Callier, Rita Possa, Pascal Michel, François Guye, Nicolas Hartmann, Philippe Schiltknecht, Denis Guy et Daniel Suter.
    Et au programme : L’Élégie de Fauré, deux mouvements de la Sonate pour deux violoncelles op. 8 no 2 de Haendel, la Danse orientale op. 2 no 2 de Rachmaninov, l’Adagio et Allegro de Schumann, les derniers mouvements de la Sonate de Honegger, le deuxième mouvement de la Sonate no 2 de Fauré, 2 Equales de Beethoven, El Cant dels Ocells (le fameux Chant des oiseaux) de Pablo Casals, la cinquième des Bachianas Brasileiras (avec soprano solo), et pour terminer la projection vidéo de la Valse sentimentale de Tchaïkovski interprétée par Guy et Monique Fallot.

  • Dans le cadre du 150ème anniversaire de la mort d’Hector Berlioz (1803-1869)
    « Un jour, en sortant de l’opéra, je jurai que malgré père, mère,
    oncles, tantes, grands-parents et amis, je deviendrai musicien ! »
    Hector Berlioz

    Berlioz compositeur et Berlioz écrivain dialoguent, ici, comme au théâtre, dans un petit coin de salon romantique et musical à souhait !
    « De la correspondance du compositeur à ses « Soirées de l’or-chestre » (1852), aux « Grotesques de la Musique » (1859), « A travers chants » (1862), sans oublier les incunables « Mémoires » (1864), on découvre non seulement la musique de Berlioz et de ses contemporains mais aussi le monde artistique d’un siècle, l’écriture
    de plusieurs régimes politiques. Si Berlioz n’est toutefois pas un romancier ou un biographe, il est plus encore, un journaliste et un critique, toujours en devenir.

  • « Qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse »

    « Dieu n’avait fait que l’eau, l’homme fit le vin. » Victor Hugo
    Un vers d’Alfred de Musset et tout est suggéré aux confins du raffinement et de la grâce ! des plus douces ivresses et de l’éloge de la griserie…
    De François Rabelais à Jacques Offenbach, les chantres de l’extase vendangent à toute heure du jour et récoltent, la nuit, les fruits de leurs dégustations secrètes.

    Et si « les sons et les parfums tournent dans l’air du soir », il n’y a jamais « si loin de la coupe aux lèvres » !

    Musique de Reynaldo Hahn, Camille Saint-Saëns, Henri Duparc, Gabriel Fauré…

  • « Les libertins sont venus au monde parce qu’ils sont gais, plaisants, dissipateurs, doux, complaisants, amis de tous les plaisirs ». Denis Diderot
    ŒUVRES DE MESSAGER, OFFENBACH, HAHN, STRAUSS, ETC.

  • Un dialogue harmonique entre la parole poétique de Martine-Gabrielle Konorski et la musique de Federico Mompou. Un spectacle où la dimension sonore de la poésie résonne sur scène, portée par l’échange entre la comédienne et la pianiste. Les mots sont enveloppés dans la musique. Musique des paroles et poésie du clavier, retenue et éclats. Une liberté furieuse de paroles et de sons. Accords nous donne à entendre le silence habité.
    « Accords est le mot qui m’a guidée tout au long de la création de ce spectacle. Imaginer un dialogue harmonique entre ma poésie et la musique de Federico Mompou, créer une résonance, une correspondance qui trace l’itinéraire d’un voyage entre deux univers : celui d’une poète du 21ème siècle et celui d’un compositeur du 20ème siècle. »

  • Une ample comédie à cent actes divers
    Je chante les héros dont Esope est le Père…
    Jean de LA FONTAINE
    Felicity Lott et Alain Carré incarnent le fabuliste et distillent ses plus belles fables parlées ou chantées ! Esope, Offenbach, Molière, Campra, Madame de Sévigné se croisent tout naturellement au cours de cette délicieuse invitation poétique et musicale qui nous replonge dans l’atmosphère des salons littéraires du temps du Roi-Soleil !
    « Qu’il mette directement en scène l’homme ou qu’il utilise le truchement de l’animal, du végétal, voire de l’objet, La Fontaine représente la vaste comédie humaine. Chaque fable est elle-même construite comme une pièce de théâtre. Elle prend place dans un décor évoqué rapidement, mais avec une grande précision. Elle se situe dans un déroulement temporel nettement déterminé. Elle met en scène des personnages décrits dans le pittoresque de leurs actions, mais aussi évoqués dans leurs réflexions les plus intimes… »

  • Au cours de la semaine de la francophonie, le Cercle international de la francophonie du Grand-Ouest propose un concours de récitation de fables de La Fontaine. Après la finale où s’affronteront de jeunes récitants, Alain Carré se pliera lui aussi à cet exercice. L’occasion de redécouvrir ce grand fabuliste, critique de la Cour à sa façon.

  • Lectures des plus belles pages notamment extraites de
    Walter Scott, Vie de Napoléon Buonaparte
    Lord Byron, Ode à Napoléon Buonaparte
    Bernard Shaw, L’Homme du destin
    Sir Conan Doyle, L’Epopée impériale
    Et œuvres de Haydn, She Never Told Her Love (Jamais elle ne parla de son amour) et The Spirit’s Song (Chant de l’esprit)
    Beethoven, Volkslieder
    Britten, Folk Songs – Sweet Polly Oliver
    Bishop, Home sweet Home
    Offenbach, Voici le sabre de mon père, (Acte III) et Ah, Que j’aime les militaires !(Acte I) extr. de La Grande-Duchesse de Gerolstein.

  • Accompagnée de la pianiste Jacqueline Bourgès-Maunoury, les mélomanes entendront Felicity lott, que l’on ne présente plus, dans Duparc, Poulenc, Offenbach, et dans bien d’autres compositeurs ayant eu le génie de se dédier aux mélodies et autres Lieder..